Ils avaient dit, eux, l’autorité toujours valide qui préside à toute élaboration valable dans le monde, qu’ils appeleraient ainsi ma future biographie, quand je serais devenue (aposiopèse) quelqu’un. Mais, moi, énorme cochon à lunette depuis peu hyperchocophage et qui vraisemblablement suis capable de tous les détours pour ne pas avoir à achever lefaussecouchement de ma dissert de lettres -sans oublier qu’il faut que j’envoie à Aym**** ce que je lui ais promis de longue date et que je ne cesse de différer dans l’espace-temps (oui, problème de la coincidence d’une zone wifi et du passage de l’idée dans ma tête de linotte) -j’ai décidé de ne pas attendre d’avoir cessé d’être personne pour prodiguer au peuple des hommes, dans ce fameux style salopé qui est mon apanage, ma définition en mouvement et en liesse du concept de glamour. Car découper les choses dans la pâte du monde, c’est bien joli, c’est même formidable, mais ce n’est pas le tout, disent-ils. Glamour, glamour… oui. Mais comment?

Tu me demandes ce qu’est le glamour? Je te répondrai simplement que c’est un dinosaure glamour, un cochon glamour à lunettes, un vieux prophète glamour (avec f à la place de ph, c’est encore plus élégant, non Ornith, pas de hurlement.)…

Mais n’est-ce pas là une réponse vide, astucieux jeune homme, car si le glamour représente la volonté dans le premier moment de son être-là (dasein) alors le second moment abstrait de la volonté en-soi et pour-soi ne pourrait correspondre à cette objectivité de l’expression-illustration du concept de glamour.

Il ne saurait, en effet, en être autrement.

Alors, lumineux jeune homme, comment définis-tu le glamour, si ce n’est pas seulement un dinosaure glamour, un cochon glamour à lunettes ou bien…

Eh bien, le glamour, c’est ce qui fait que ces choses sont glamours.

Par exemple l’Idée de Glamour, si je te suis bien dans ton raccourci logique?

Voilà, c’est bien cela. Est glamour ce qui participe de l’Idée de Glamour.

Oh oui!